brûle les cadeaux avec le feu de cette bougie vomit les bombons et le mazapan surréaliste. oublier, ces larmes que j’avale lentement, oublier, que ton prénom est… jette l’anneau au vent parce qu’il le prendra, a la terre du souvenir rebobine ta vie jusqu'à ce jour dans la rue deux. c’est tout, oublie que je t’éxise avec haine, c’est tout, sincèrement nous vous sommes allé
Texto agregado el 08-03-2005, y leído por 157 visitantes. (3 votos)