Il est un an depuis que j’ai connu des amis françaises. Je me souvienne bien de la première fois que nous sommes sortis tous ensemble pour danser, de le repas ce soirée, mais sur tout de l’expression dans le visage de Manu quand il a vu des enfants dans la rue. J’ai demandé qu’est-ce que lui arrivait, je comprenais rien. Pourquoi son angoisse? Voilà! Je suis venu a comprendre que dans la France il n’y a pas des enfants qui vent des sucreries dans la rue en plein nuit.

Si vous me demandez la raison des enfants travailleurs dans mon pays, je crois que je n’ai pas la réponse. Je les regarde tous jours, quand je vais en ville, quand je prends le bus, quand je m’assieds dans un banc du parc; ils sont partout, comme des adultes qui vent aussi des bonbons dans le bus, et je pense…s’ils sont des adultes ne devraient pas être en travaillent? Et s’ils sont des enfants ne devraient eux être dans l’école?

J’ai vécu toute ma vie avec cette réalité, ça ne me frappe pas mais m’inquiète. C’est le futur de mon pays, mais c’est aussi une réalité qui ne finira dans quelques ans.

Les enfants travaillent parce qu’ils habitent dans autre monde: le monde des cartiers populaires, des cartiers violents, des familles incomplètes. Ils travaillent parce que sa mère n’est pas dans la maison, parce qu’elle arrive tard dans la nuit et sort tôt dans le matin (et n’est pas dans la nuit non plus), parce qu’elle cherche la manière de vivre avec deus travailles pendant qu’un d’eux le mettre prégnante encore un fois.

Des enfants ne quittèrent pas de travailler, ils ne vont pas étudier dans l’université parce qu’il faut gagner de sou pour manger; ils vont croître et vont devenir des adultes qui vent des sucreries dans le bus ou dans les sémaphores tant que nous continuons en achetant les des bonbons.